Fire Emblem Echoes : Shadows of Valentia / Édition Limitée (3DS)
Développeur : Intelligent Systems
Éditeur : Nintendo
Dates de sortie :
- Japon : 20 avril 2017
- Monde : 19 mai 2017
Comme je le fais parfois ici, je vais aujourd’hui partager avec vous le contenu du collector européen de Fire Emblem Echoes : Shadows of Valentia. Car si j’ai mis des mois à me mettre à ce jeu (voir ma chronique d’hier), je n’ai tout de même pas fait les choses à moitié.
Sur DS, les collectors américains étaient légion (vous avez pu voir par exemple ici même celui de The Dark Spire le 17 mai 2023), comportant généralement un simple CD supplémentaire, mais en Europe la chose était plus rare. Pour l’occasion, Nintendo a fait très fort en proposant un packaging gigantesque, comportant bien évidemment le jeu – ce qui n’est plus trop évident de nos jours…), assorti de divers bonus non négligeables.
Tout d’abord, nous trouvons en ouvrant le coffret une petite boîte renfermant trois pin’s représentant les héros en version pixel art. Classique, mais efficace. En-dessous, on trouve le jeu qui propose une jaquette alternative faisant intelligemment écho à celle de la version Famicom.
Ensuite, le sempiternel artbook est présent. Honnêtement, il n’est pas très gros et n’apporte pas grand-chose pour les fans. Par contre, l’OST format CD qui y est associée est bien plus intéressante, puisqu’elle propose la bagatelle de trente titres. 14 d’entre eux sont les versions originales (Famicom) de l’OST, et 14 autres les versions réorchestrées pour la 3DS. Les deux autres sont les thèmes, du jeu et de Fire Emblem.
Mais la taille du collector est surtout due aux deux Amiibo bien cachés dans un carton quasiment impossible à ouvrir, ceux – on s’y attendait – d’Alm et de Celica, les deux héros du titre. Ça tombe bien, ces deux Amiibo sont utilisables dans le jeu. Finalement, quand on additionne le prix de chaque partie de cette version limitée, on obtient un total largement en-dessous de ce qui était demandé à son achat. On ne se sentait clairement pas volé à l’époque, même si l’emballage général en carton n’est pas des plus seyants…
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